Jour 4 – Aujourd’hui, une visite de plus de 4 heures, dans l’un des plus grands musée au monde, j’ai nommé l’Ermitage. Nous aurions pu y passer des jours et des jours tellement le musée est immense.  Nous commençons par l’état major de l’Ermitage.

St Pétersbourg
L'Etat major

J’observe la maquette du bâtiment qui montre la chronologie des parties reconstruites après la seconde guerre mondiale. L’entrée sous la verrière est très moderne. Les dates de rénovation sont inscrites en chiffres romains, tout en haut d’immenses portes rehaussées de bois.

Nous nous attardons sur quelques jolies sculptures et une salle dédiée à une oeuvre contemporaine en bois de Kabakov, très surprenante, “the red wagon”. Elle représente l’histoire de l’union soviétique jusqu’à sa chute.

Nous ne restons pas trop dans l’état major car beaucoup de peintres sont aussi exposés en France. Je ne peux pas m’empêcher cependant d’aller voir quelques toiles d’un peintre russe que j’adore, Wassily Kandinsky.

St Pétersbourg
Le Palais d'hiver

Ensuite, nous ressortons de l’état major pour rentrer dans le Palais d’hiver des tsars. Le linéaire de façade bleu-vert du bâtiment impressionne. A l’intérieur, une chapelle, de grandes salles de réception et des escaliers montrent le faste de la période des tsars.

Tous ces différents couloirs en enfilade pour accéder aux salles arborent des styles très différents. Le couloir le plus clair, est dans un style romain avec quelques dorures. La célèbre galerie des portraits tire sur le rouge.

Dans le salon du paon, une immense pendule trône au centre de la pièce. Le paon et les animaux autour s’animent à certaines heures de la journée. Magnifique horlogerie. La pierre malachite décore une salle de son vert si particulier.

Après avoir passé la salle dédiée à Léonard de Vinci (“Madonna litta”), je jette un coup d’oeil sur les “trois grâces”, un petit angelot malicieux et cette magnifique sculpture de jeune femme. Nous finissons la visite par les relations franco-russes du XIXème siècle.

Après avoir passé la salle dédiée à Léonard de Vinci (“Madonna litta”), je jette un coup d’oeil sur les “trois grâces”, un petit angelot malicieux et cette magnifique sculpture de jeune femme. Nous finissons la visite par les relations franco-russes du XIXème siècle.

Le palais d’hiver est aussi tourné vers le dehors. Aux fenêtres, j’observe les canaux de St Pétersbourg et ce jardin intérieur. Après une pause déjeuner tardive au superbe café singer, nous découvrons le marché Sennoï repérable par son entrée en métal noir.

Demain, nous partirons en hydroglisseur vers Peterhof.

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